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30 juin 2007 6 30 /06 /juin /2007 12:49

Kossuth est la "divinité tutélaire des créatures du Feu élémentaire et des personnes fascinées par la danse énigmatique et la force destructive des flammes [...]". Son culte connait une progression à "un rythme que certains trouvent inquiétant" et recrute "activement auprès des pauvres et des déshérités, offrant un programme de progression basé sur le dénit de soi. Les nouvelles recrues adoptent un style de vie ascétique". Il "fait preuve d'un enthousiasme (...] à accueillir les novices".

"Les prêtres de Kossuth choisissent le lever du soleil ou son zénith pour prier. Leur religion dicte que la flamme sacrée provient du sud, et ils procèdent donc à toutes leurs cérémonies et rituels en faisant face à cette direction [...] allumant d'immenses feux de joie et font de grands sacrifices".

"Le feu et la pureté ne sont qu'une seule et même chose. La fumée est produite par l'air qui est jaloux du feu".

 

 

 

 

 

Une tour élancée, aux formes à la fois gracieuse et "piquante" se dresse un peu au nord de la Vinasserie, sur le rivage, face au détroit. Le temple de Kossuth est en milieu rural, au delà de la Vinasserie. Dressée au bord de l'eau, elle est construite sur un amas rocheux, un peu en hauteur, surplombant le détroit d'une petite hauteur : plus en escarpement qu'une falaise. En dessous, une mince plage rocailleuse.

Elle a trois étages (au vu des fenêtre du moins) avec au sommet un bulbe où se découpent de larges ouvertures par lesquelles on voit constamment une flamme briller, sans dégager de fumée. L'ensemble est blanc, avec des décorations oranges et jaunes. A coté, un bâtiment rond au toit en forme de dôme repossant sur une colonnade circulaire. Ce bâtiment rond est lui même appuyé sur une logis plus bas, de deux étages, servant sans doute d'habitation et de dépendances au lieu de culte. Des brasiers sont en permanence allumés sur l'enceinte, et aux terrasses des étages de la tour. Un autre feu brûle au centre du bâtiment rond.

La tour est entourée d'une petite enceinte percée d'une entrée principale donnant face son entrée. Par cette première enceinte, en contournant la tour, on entre dans une enceinte annexe, plus basse, entourant les deux autres bâtiments.

Aux alentours, un petit village de huttes et de baraquements de fortune accueille des vagabonds et des membres secondaires du culte. Devant chacune, un brasero brûle presque tout le temps. Un petit enclos sert à parquer des animaux de fermes, des moutons entre autre et quelques volailles, pour le quotidien du temple.

Au dessus de la petite plage, un rocher sert de lieu d'incinération des fidèles. On y voit un bûcher, dressé sur ce rocher, face au Nord (Lac de VApeur).

Mis à part quelques prêtres vêtus de manière ostentatoire, les personnes présentes sont plutôt des gens de petite fortune, ou ayant renoncé à elle. Il semble que la plupart soit plus proches du monachisme que de la prêtrise. Non loin, on trouve bon nombre de mendiants, sans aveux, pauvres, ou petites gens.

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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 13:03

L'Auberge du Pied Heureux se situe au Nord Est de la ville, dans la ville basse, proche de la muraille et de la guilde des magiciens surplombant la falaise nord. Il s'agit d'une simple maison de deux étages, en bois et pierre. Elle se trouve à un croisement de rue, diamétralement opposée à une demeure étrange, envahie de végétation, et dominée par une tour carrée en ruine, en partie recouverte d'une végétation noueuse et sauvage.

Une coquette maison est donc le lieu de ladite auberge. Servant d'enseigne, un panneau avec une note de musique de couleur sable. L'intérieur ne ressemble pas vraiment à une auberge. IL n'y a pas de table mais des tapis, pas de banc ou de chaise mais des cousins et des tapis. Un seul bar, discret, le long des murs des sortes d'étagères à casiers remplis de rouleaux de parchemins. Une porte derrière le comptoir rudimentaire. De belles tentures, colorées et raffinées, ornent les murs. A l'intérieur, des hommes exclusivement, qui sont assis sur leurs cousins et tapis.... fumant d''étranges pipes à eau tout en mangeant avec doigté des fruits secs et en buvant une sorte de thé. Certains lisent des poèmes, chantent, en direction de leur tablée. L'atmosphère est calme et passionnée, raisonnée et poétique.
L'ambiance est plutôt bonne, mais axée essentiellement sur des poèmes, chansons et odes variées et diverses, entonnées à tour de rôle par la grane majorité des convives. Aucun aubergiste ne semble se distinguer particulièrement.

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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 11:47

Palais des conseillers.

Vue prise du nord, proche porte de la Vinasserie (du Nord pour son vrai nom), avec en bas à droite les Thermes et ses dépendances, derrière les jardins d'Olphara puis les Jardins du Palais. Derrière ces jardins, la Caserne de la Cavalière Rouge. Encore derrière, la deuxième enceinte puis la troisième avec tout au fond la Ville haute. A l'horizon, le détroit menant au Lac de Vapeur, et loin, à une trentaine de kilomètres les côtes des Royaumes frontaliers.

http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-palais-de-conseillers-et-la-ville_jpg.html

les jardins du palais

http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-jardin-du-palais-des-conseillers_jpg.html

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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 11:14

LE CHATELET DE SUDOLPHOR

Il s'agit d'une vieille forteresse, jadis plus vaste, réduite après que son utilité de défense ne se soit réduite (les murailles n'étant plus au même endroit). Elle se trouve maintenant dans la ville, non loin de l'auberge du TErtre.

C'est un énorme bâtiment, massif, à chemin entre la forteresse et l'hôtel particulier fortifié. IL se trouve sur une place, occupée largement par un marché. Le chatelet, grosse bâtisse rectangulaire dont deux côtés sont sur la place (un angle sur la place) et deux autres dans les pâtés des maisons proches, a bien trois ou quatres hauts étages de hauteur. Chacun des côtés tient maintenant plus du corps de bâtiment que la muraille d'origine. D'anciennes tours et échaugettes les ornent encore.
http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-chatelet01ag4_jpg.html
On entre par une porte, sans doute un ancien pont levis encadré de deux massives statues antiques et rustiques, passant à travers un corps de bâtiment d'une forte épaisseur.

Une petite porte s'ouvre sur la droite de l'entrée et mène dans le bâtiment lui même. On peut poursuivre au delà de l'entrée, sous le batiment, et donner alors dans une cour intérieure pavée, carrée, avec un puit au centre.

L'ensemble est assez vaste, et bien peuplé. Des gardes, des magistrats en tenue, des scribes, des malfrats enchaînés et durement escortés. Il y a, donnant sur la cour intérieure, une imposante écurie, une sorte de hangar, des portes, et des portes et encore des portes, menant à des bureaux, aux étages, aux geoles, aux souterrains d'où sortent et entrent les détenus.

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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 11:12

L’AUBERGE DU TERTRE.

Aspect extérieur.

C’est une auberge de bonne facture qui se situe non loin de la Ville haute. Sa forme est rectangulaire. L’entrée se trouve sur l’un des côtés les plus étroits. Elle est construite en pierres de bonne taille et de couleur blanche. Au dessus du rez de chaussé, un seul étage, directement sous un toit plat qui dépasse d’un bon mètre de chaque côté de la bâtisse. Une volée de quelques marches permet de descendre jusqu’à une double porte massive renforcée de barres de fer cloutées.
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L’auberge du Tertre, 1re salle. Salle principale, de restauration.

« La première salle est à moitié enterrée. Elle est assez bien éclairée par des lampes à huile. On y accède par le côté le plus long. Sur la droite et sur la gauche, des tables, rectangulaires massives ou rondes pour les plus petites. Au fond à gauche, un renfoncement forme une sorte d’alcôve un peu à l’écart. Au fond à droite se trouve le bar, ouvert à l’arrière sur les cuisines. En face, entre ce bar à droite et ce renfoncement à gauche, un couloir menant vers une petite cours intérieure rectangulaire, à ciel ouvert, avec au centre une belle fontaine arrosant un petit bassin ornemental »
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"Le chef", "Gros Quilhem", trône derrière son bars.

http://www.bloguez.com/Sudolphor/113326/

Si actuellement il a un bon embonpoint celui-ci ne masque guère une musculature impressionnante. Un teint mat et une peau parcheminée par le soleil et le vent indiquent un baroudeur égaré des côtes Est. Sa chevelure rousse pâle oriente plutôt vers des origines nordiques. Une énorme hache à deux mains est placée de manière ostentatoire au dessus du comptoir. Deux jeunes filles sont là pour le service ». Un garçon est parfois visible, à la chevelure rousse.
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« La cour intérieure est en longueur. On y par le côté le moins large. Elle est entourée de fines colonnades soutenant le balcon du premier étage. Donnant sur ce balcon on trouve les portes des chambres particulières ; les murs donnant sur l’intérieur de la cour sont en fait des panneaux en bois orientaux finement ouvragés de façon à laisser entrer dans ces pièces la lumière de la cour. Ces ouvrages fragiles peuvent être fermés par des volets en bois plein. Au centre de la cour s’écoule lentement l ‘eau fraîche d’une belle fontaine aux motifs forestiers et printaniers, construite sur un petit monticule de terre L’eau s’écoule en chantant doucement dans un bassin bas et pierre claire. Le tout est un peu surélevé par rapport au pavage de la cours. A l’étage, des portes de chambres individuelles, de qualité, aux linteaux de bois ouvragés comme au premier étage »

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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 11:10

LES THERMES PUBLICS DE SUDOLPHOR

 Les thermes publics sont situés au nord, dans la première enceinte, dans un quartier plutôt aisé puisqu'ils se situent entre le palais des Conseillers et tous les bâtiments administratifs qui sont proches, et le quartier des étudiants. Ils se trouvent sur la rue principale reliant les deux lieux. Il s'agit d'un bâtiment énorme, surmonté d'un dôme titanesque. De plus petits bâtiments lui sont adossés, eux aussi surmontés de dômes moins grands, mais restant impressionnants. Certains disent qu'il s'agit d'une ville dans la ville. Devant le therme, une façade massive avec plusieurs portes volumineuses, une esplanade devant ornée de statues représentant des personnages mythologiques. L'ensemble est si massif qu'il occupe la superficie de plusieurs pattés de maisons. Sur les côtés des thermes ont trouve des immeubles qui semblent être réservés au personnel. Mais on ne peut y accéder. Ainsi le therme peut vivre en autarcie dit-on. Il y aurait derrière des ruelles, des logements, voir même des magasins. Si on contourne le bâtiment on constate effectivement que des rues et ruelles sont murées lorsqu'elles passent à l'arrière des thermes. "C'est pour protéger les donzelles des élans masculins" peut-on entendre dire. Des portes protégées de certaines ruelles laissent entrer les chariots pour l'approvisionnement. Devant les thermes, sur l'esplanade, règne une intense activité : marchands, nobles, magistrats, hommes (ou femmes) du commun, soldats, diplomates, tous déambulent, entrent et sortent, ou simplement admire les lieux de l'esplanade en façade.

Deux des cinq portes en façade sont en libre accès. L'essentiel des thermes est effectivement gratuit. Le peuple entier, à condition d'être correct, peut accéder à toute la chaîne classique des services offerts par les thermes (chaîne du chaud, froid....). Deux autres des portes mènent à des espaces plus sélectifs, et l'on doit payer au moins 20 pièces d'or pour y entrer (laissant donc 95% de la population, ou presque, à la porte). On dit qu'il s'agit de salles privées, où les nymphes de paradis officient, chantent, dansent, récitent des poèmes, ou plus. La monumentale porte centrale est elle fermée, bien qu'une petite porte (1 mètre sur 2) puisse être ouverte sur l'un des battants (5 mètres de haut, deux de large). Il n'y a pas grand monde qui passe par là. Les thermes sont constamment visités, et la foule s'y presse sans discontinu toute la journée.

 http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-thermes-publics-de-sudolphor_jpg.html

TArifs normaux : gratuité.

Casiers pour ranger les affaires : 1 pa

Tarifs des deux portes "nobles ": 20 PO

Porte centrale : tarif non précisé.

Thermes privés et individuels : non précisé.

 http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-bains-prives-aux-thermes-de-sudolphor_jpg.html

Derrière les thermes publics, dans le bâtiment principal, on trouve une vaste cours intérieure entourée d'allées ombragées, de jardins, de bâtiments secondaires (arrière plan dessin 1) qui ne sont accessibles que de l'intérieur, par cette cours. Des bassins extérieurs. On peut y accéder quasiment librement, à condition de montrer patte blanches. Ce lieux mènent à d'autres bâtiments.

 http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-interieur-des-thermes-de-sudolphor_jpg.html

A partir de ces jardins, autour de la cours intérieure (visible tout au fond du deuxième dessin) on trouve de petits thermes secondaires. Ceux-ci ne sont pas publics et sont souvent gardés. Ils peuvent être loués, à l'année souvent, ou même totalement privés, appartenant à des exploitants ou même à de riches nobles ou magistrats. Certains peuvent appartenir à des courtisanes, mais c'est extrêmement rare, et recherché. Ils possèdent parfois leur propre personnel. On trouve même l'ancien harem de la ville, aujourd'hui fermé.

 http://sudolphor.over-blog.com/photo-296955-jardins-des-thermes-publics-de-sudolphor_jpg.html

On trouve, ou plutôt on peut se faire guider, vers des lieux isolés et peu accessibles. Des salles discrètes, souvent souterraines. On dit que là dessous se créent et se brisent des alliances entre grands, discrètement, à l'écart de tout regard. On trouve ce type de salles à d'autres endroits dans la ville, mais avec moi de richesse, moins de protection.

 

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31 décembre 2006 7 31 /12 /décembre /2006 16:09

La Maison Commune

Ce qui est appelé "maison commune", est en fait une ancienne place forte. Tout comme le chatelet, elle devait il y a longtemps protéger une enceinte de la ville, à ce jour disparue.... Il s'agit d'une énorme maison forte, donnant elle aussi sur une place, offrant une façade austère et fortifiée, coupée en deux par une énorme et ancienne barbacanne de deux tours. Entre les deux tours, une double entrée surplombant la place, avec des portes énormes, maintenant ornées de sculptures religieuses. Certaines ouvertes témoignent de la vocation maintenant religieuse de l'ouvrage. Des vitraux ont été édifiés, coupant la façade en de rares endroits (la façade converse son architecture défensive d'origine).

La Maison commune accueil des cultes étrangers à la ville, axés loyal bon ou neutre. Sous l'apparence d'une forteresse, il s'agit en fait d'un assemblage de cultes loyaux (mauvais exceptés), de chapelles. Le mode de vie est proche du mode de vie monastique.

on accède à la Maison par une issue ouverte dans la muraille, possédant une rampe d'accès. On accède en effet à l'entrée principal par de lourds degrés de marches. Il faut passer par l'accès au charriots, sur le coté. Celui-ci est pentu. Des hommes sortent de la Maison commune pour aider les animaux à hisser le lourd charriot sur la pente de pierres grossières.

Vous entrez par cette issue, et accédez à une vaste écurie. Un homme se tient à l'intérieur. Il s'agit d'un homme âgé, vêtu sobrement d'une tunique de couleur terne. Il porte les insignes de Kelemvor.

L'impossante écurie est voutée. HAute de plafond, celui-ci est soutenu par de gros pilliers carrés de pierre blanche ou grise. De la paille est répandue au sol. Une porte ouverte au fond à droite semble mener vers une pièce servant de réserves. Une porte plus large sur la gauche laisse entrer la lumière de la nuit. Vous l'empruntez et arrivez sur une vaste cour intérieure, sur laquelle donne aussi l'entrée principale, fermée. La cour est dallée, propre et régulière.  CElle-ci est rectangulaire. Tout de suite à votre droite se dresse l'arrière monumentale de la barbacane servant d'entrée. Vous vous trouvez juste au pied de l'une des énormes tours la constituant. Une porte, après une volée de marche, y mène. La tour dallée est éclairée par la lumière lunaire, blaffarde, et par de rares torches. En face de vous, une allée cloitrée. sur la gauche, un bâtiment de toit plat, de deux étages (comme toute la forteresse). Sur le même mur que le votre, mais juste à votre droite, deux portes menant dans la même aile que celle d'où vous sortez.

POur se rendre aux cellules monacales,  il faut traversser la cour silencieuse, passer le cloître, suivre un passage en voute à croisées d'ogive, entre deux aîles de bâtiment, passer sous une nouvelle allée cloitrée, dans une plus petite cour, pour monter un unique escalier de pierre.

La chaufferie.

C'est une salle à laquelle on accède par la cour centrale sur laquelle donne les chapelles de la Maison commune. Il s'agit d'une salle voutée avec en son centre l'âtre d'une cheminée énorme, carrée, entourée de quatres pilliers. La salle est carrée, les murs sont en grosses pierres de taille. Au centre donc, le feu, carré, encadré de lourds pilliers soutenant la voute. Autour des bancs de pierre, le long des murs. Le conduit de cheminé disparait au centre de la voute.

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